Leader du conseil auprès des réseaux du commerce organisé indépendant, le cabinet Axe Réseaux a accompagné plus de 300 clients de tous secteurs, à toute étape de leur cycle de vie.
Nos équipes connaissent en profondeur les problématiques de croissance et de financement des enseignes.
Cette page vous en présente les enjeux et vous offre un panorama de l’ensemble des solutions à la disposition des réseaux.
Vous recherchez un expert en franchise ? Leader reconnu dans l’accompagnement des enseignes, Axe Réseaux aide le dirigeant de tout concept prometteur à devenir franchiseur et à développer sa franchise.
Pourquoi financer le développement de votre réseau de franchise ?
Les raisons ne manquent pas !
Si l’autofinancement est un levier classique, comme pour n’importe quelle entreprise, il trouve rapidement ses limites. D’ailleurs, il serait illusoire de vouloir créer et développer un réseau sur la seule base des droits d’entrée des franchisés. Et quant aux redevances, elles ont pour contrepartie des prestations contractuelles au coût de production plutôt serré.
Il peut donc être intéressant d’avoir recours à un financement externe, dans la mesure d’un endettement raisonné, pour ne pas avoir à ralentir le développement de son réseau, ni briser la dynamique intrinsèque du modèle de la franchise. Surtout que les leviers de financements à la disposition de l’entreprise sont nombreux.
Une grande diversité de besoins d’investissements :
- Lancement d’un nouveau produit
- Campagnes marketing
- Recrutement
- Formation
- Trésorerie insuffisante
- Développement à l’international,
- Recherche & développement …
Panorama des principaux leviers de financement des réseaux de franchise
On retrouve dans la gamme des financements :
Quelles sont les ressources financières d’un réseau ?
Un réseau compte sur les droits d’entrée, les redevances, la marge sur les produits facturés par le franchiseur à ses franchisés et d’autres ressources liées au concept (logiciel dédié, assurances,…). Pour autant, la pompe met du temps à s’amorcer et ses dirigeants doivent avoir un solide niveau de trésorerie, alors ces revenus ont des contreparties bien définies et un coût de production à appréhender le plus complètement possible.
Pourquoi chercher à financer son réseau ?
L’autofinancement de l’ensemble des postes d’exploitation et de développement d’un réseau est impossible, tant ils sont nombreux et chronologiquement plus élevés au démarrage. En plus, l’autofinancement n’est pas toujours souhaitable tant il existe des solutions disponibles sur le marché. Le tout est de savoir pourquoi on veut se financer à l’extérieur, quels en sont les risques, et au détriment de quoi cet endettement se fera.
Quels sont les besoins / postes à financer ?
Les postes à financer sont très nombreux : conseil à la conception du réseau et pilotage, rédaction du manuel opératoire, des supports de formation, des supports juridiques, métiers, marketing, budgets de communication… Il faut y intégrer des recrutements éventuels ainsi que la participation des équipes internes à la conception et la validation de l’ensemble des supports venant structurer le concept et supporter sa commercialisation. Ensuite, de nombreux postes d’exploitation puis de développement devront aussi être financés, au-delà des ressources propres.
Les besoins de financement évoluent-ils dans le temps pour le réseau ?
De la conception à l’export, en passant par l’exploitation, le développement organique, les investissements d’image ou encore la croissance externe, la vie d’un réseau traverse de nombreuses phases ayant chacune ses impératifs de financement. Ses dirigeants se doivent d’avoir une stratégie et un écosystème de ressources et de partenaires adaptés à chacune d’elle.
Quels sont les partenaires du réseau dans son financement ?
L’écosystème de financement au sens large est très riche. On trouve les proches des dirigeants (DAF, banquiers, consultants), les organismes publics (BPI), les plateformes de financement participatif, les réseaux bancaires, les fonds d’investissement, les industriels et professionnels du secteur, et éventuellement les autorités boursières. N’oublions surtout pas les experts-comptables et financiers ainsi que les avocats pour les accompagner dans l’ensemble de ces transactions.